Marine Legrand

Doctorante en anthropologie de l’environnement, j’étudie l’émergence de la conservation de la biodiversité comme objectif d’aménagement des parcs et jardins publics. Je m’intéresse à la diversité des savoirs et des pratiques s’inscrivant dans le contexte de cette nouvelle forme de prise en charge publique des existences animales et végétales au sein d’un territoire urbain, à partir de l’expérience menée depuis les années 1990 en Seine-Saint-Denis. Je m’intéresse plus généralement aux relations entre construction des savoirs et gouvernance des environnements urbains.

J’effectue ma thèse au Muséum national d’Histoire naturelle sous la direction d’Anne-Caroline Prévot (CESCO) et Anne Sourdril (LADYSS), avec un financement du Réseau de Recherche pour le Développement Soutenable (région Ile-de-France) et du Conseil Général de Seine-Saint-Denis.

Article dans des revues à comité de lecture

LEGRAND Marine, 2012. « Vigie-Nature : sciences participatives et biodiversité à grande échelle », Cahiers des Amériques latines, 72-73, 2013, pp. 65-84.

Chapitres d’ouvrages

LEGRAND Marine, 2014. « Savoirs sur la nature, vers un dialogue entre cultures ». Atlas dynamique de la biodiversité en Seine-et-Marne, tome 4 : Biodiversité et société en Seine-et-Marne (sous presse)

GOURMAND Anne-Laure, LEGRAND Marine et COSQUER Alix, 2012. « Vigie-Nature, quand la recherche en écologie devient participative » in FLEURY C. et PREVOT-JULLIARD, A (dir.). L’exigence de la réconciliation, Biodiversité et société. Paris, Fayard.

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